Amertume et désenchantement....

Les Larmes coulent et brûlent ma peau,

Violentes pour échapper à cette détresse infinie.

Seules dans l'ombre,

Elles s'évaporent sous la douceur ouatée d'une étole blanche.

L'âme ulcérée par la douleur,

Je cherche une force perdue dans les méandres d'une anarchique cacophonie.

Je m'enfuis vers d'autres cieux.

Dans l'obscurité, des lumières illumineront mon coeur.

Elles guideront mes pas sur un nouveau chemin,

Loin du marasme qui s'est abattu sur moi à l'aube de cet été,

Ecartant ma naïveté à croire en un sursaut de vérité,

J'espère et attends cette renaissance comme un nouveau souffle.